© Jean-Louis Fernandez : façade du Théâtre du Peuple à Bussang
À Bussang, le Théâtre du Peuple se réinvente depuis 130 ans
Par Chantal Boiron
Cette année, le Théâtre du Peuple de Bussang fête ses 130 ans.
En effet, c’est le 1er septembre 1895 que Maurice Pottecher, jeune auteur originaire du village, « un enfant du pays », monte avec son épouse, la comédienne Camille de Saint-Maurice, sur une petite scène fabriquée avec quelques planches bois, en plein air, la pièce « populaire en trois actes » qu’il a écrite en un mois : Le Diable marchand de goutte. Camille (Camm pour les intimes) est la seule professionnelle parmi une troupe d’amateurs. On a réquisitionné la famille (adultes et enfants), les amis et, pour la figuration, des villageois. Deux mille spectateurs assisteront à l’unique représentation de cette première création du Théâtre du Peuple.
DR : La scène du Théâtre du Peuple, autrefois
L’utopie d’un théâtre populaire
Pour Maurice et Camm, cette nouvelle page qui s’ouvre devant eux marque une rupture avec le milieu parisien : « Je rêvais une scène plus libre, plus vaste et plus accessible à la grande foule que le théâtre ordinaire des villes » dira Maurice Pottecher. C’est l’utopie d’un théâtre populaire, à la fois ancré dans un territoire rural et ouvert sur le monde. Au fronton du bâtiment en bois construit par le menuisier du village, l’entreprise Hans, on peut lire cette devise : « Par l’art, pour l’humanité ». Les grandes portes du fond de scène s’ouvrent sur la forêt vosgienne. Avec l’audace de leur jeunesse, Maurice et Camm privilégient la création, l’écriture contemporaine. Maurice Pottecher écrira régulièrement de nouvelles pièces pour les Bussenets, qui seront jouées chaque été sur la scène du Théâtre du Peuple.
Malgré deux guerres mondiales, les crises et les drames de la vie, le théâtre en bois est toujours là. En 1975, il est classé Monument historique. Au fil du temps, l’outil artistique s’est considérablement transformé, agrandi. Il est devenu plus performant technologiquement. Désormais, c’est l’Association du Théâtre du Peuple qui en assume la gestion. Pourtant, le Théâtre du Peuple de Bussang a conservé tout son ADN et su préserver avec ferveur ses valeurs originelles. Encore aujourd’hui, de très nombreux comédiens amateurs se joignent à des professionnels pour jouer les créations de l’été. Désormais, ils arrivent de la France entière.
Idem pour les bénévoles qui viennent prêter main forte, aider l’Association, que préside actuellement François Rancillac, à assurer les tâches du quotidien. Il faut même s’y prendre très tôt si l’on veut être bénévole durant une semaine ou deux à Bussang. Cet été, une bénévole avait mis son vélo dans le train, à Paris. Arrivée à la gare de Mulhouse, elle a pédalé durant plusieurs heures, franchi des cols pour grimper jusqu’à Bussang. Cette générosité-là, celle utopie-là qui perdurent depuis 130 ans n’appartiennent qu’au Théâtre du Peuple. Bénévoles et interprètes sont logés à la Popote et dans les gîtes du village. Car l’utopie, ça génère aussi toute une économie.
© Vincent Zobler : Hériter des brumes de Alix Fournier-Pittaluga et Paul Francesconi, créé le 20 août 2025 par Julie Delille
Hériter des brumes
L’histoire incroyable de ce petit théâtre en bois, construit au XIXème siècle en pleine forêt vosgienne par de jeunes artistes idéalistes, c’est justement ce que nous raconte Hériter des brumes, un feuilleton en six épisodes, écrit à quatre mains par Alix Fournier-Pittaluga et Paul Francesconi, et créé le 20 août 2025 par Julie Delille (1).
Directrice artistique du Théâtre du Peuple depuis deux ans, elle a voulu que les six épisodes soient entièrement joués en plein air, sur une petite scène adossée à la forêt. Bien sûr, c’est pour retrouver les conditions de la toute première création du Théâtre du Peuple, mais pas uniquement. Il y a aussi des liens secrets, presque magiques, avec la nature environnante et la forêt vosgienne.
Il n’était pas si évident de raconter, de faire revivre cent trente années de saga familiale et de création artistique, en restituant le contexte historique, avec presque rien. Artistes associés au théâtre depuis la nomination de Julie Delille, Alix Fournier-Pittaluga et Paul Francesconi assurent « avoir choisi ce qu’ils avaient envie d’écrire ». Un pari réussi. Chaque épisode dure une heure. Certains jours, on pouvait voir deux épisodes successifs. Et d’autres, le feuilleton dans son intégralité : ce qui permet de mieux saisir le sens du projet.
En ouverture d’un épisode, un court résumé rappelle, comme dans n’importe quelle série, ce qui s’est passé précédemment. À la fin, une petite phrase, qui revient comme un leitmotiv, nous fait prendre conscience de la grande fragilité de cette aventure : « Cela aurait pu s’arrêter là ». Effectivement, cela aurait pu s’arrêter tant de fois. Après la guerre de 14/18 où Jean, le fils de Maurice et de Camm, pacifiste convaincu, est tué sur le front quelques semaines avant l’armistice. Mort pour la France à 20 ans. Cela aurait pu s’arrêter avec la crise de 1929. Ou à la fin de la Seconde Guerre mondiale alors que le village a été occupé par les Allemands, et le théâtre gravement endommagé. Cela aurait pu s’arrêter avec la mort de Camm (1957) ou, trois ans plus tard, avec celle de Maurice (1960). Leur tombe se trouve dans le parc, à quelques pas de leur théâtre. Mais, il y a toujours eu cette résilience ou, qui sait, un petit miracle qui a fait que cela perdure encore aujourd’hui et que, chaque été, de nouvelles créations théâtrales prennent vie à Bussang. Après la mort de Jean, Pierre Richard-Wilm, son ami d’enfance devenu comme un fils spirituel pour Maurice et Camille, prendra tout naturellement la relève.
Avec Hériter des brumes, les deux auteurs ont écrit une épopée poétique et… résolument féministe. En effet, les femmes qui, depuis 130 ans, ont largement contribué à bâtir le Théâtre du Peuple retrouvent ici toute la place qui était la leur et qu’on avait occultée : Camille Pottecher, la complice de Maurice Pottecher et la grande comédienne qui a tant transmis, formé tellement de générations d’acteurs et d’actrices. Mais encore Germaine Kiener, Marguerite Vannson ou Nadège Sadon. Il était temps ! Les journées Matrimoniales du 13 et 14 septembre 2025 leur rendront hommage (2).
© Vincent Zobler : Hériter des brumes de Alix Fournier-Pittaluga et Paul Francesconi, créé le 20 août 2025 par Julie Delille
Dans le très beau texte d’Alix Fournier-Pittaluga et de Paul Francesconi, il y a, à la fois, une grande unité et une vraie puissance dramaturgique. Cette histoire, ils nous la font vivre de l’intérieur. On croit aux personnages. On se laisse prendre, émouvoir par ce qui leur arrive. Néanmoins, la présence de deux personnages fictifs (Antoine et Raphaëlle) qui sont comme des chefs de troupe, interprétés d’ailleurs par les mêmes comédiens qui jouent Maurice et Camm, apporte une forme de distance avec la possibilité de regarder et de commenter depuis aujourd’hui ce qui s’est passé autrefois. Cela donne aussi une légèreté, une note d’humour. Et puis, il y a cet autre petit miracle propre à Bussang qui fait que les comédiens amateurs et professionnels finissent par former une troupe cohérente et entièrement investie. En les voyant jouer ensemble, on ne se pose plus la question de savoir qui est qui. On se laisse emporter par le souffle du récit.
Nous le disions, il était essentiel pour Julie Delille que cette épopée se joue dans la forêt, au milieu d’arbres parfois centenaires comme Fagus, un hêtre emblématique qui était déjà là au XIXème siècle. Dans ce décor naturel, dans ce monde si vivant où la metteuse en scène se sert de la végétation, où chaque élément intervient, que ce soit le soleil, la pluie ou la nuit qui tombe, le moindre détail a son importance, voire une signification symbolique. Par exemple, les dates qui ont marqué l’histoire du théâtre ont été inscrites sur une des planches de la scène. Il y a aussi ce miroir et ce bouquet de fleurs que l’on retrouve dans chaque épisode, mais placés à un endroit différent. Ou des pierres que l’on pose sur la scène, les unes au-dessus des autres, comme pour édifier de minuscules cairns. On y trouve une force animiste et spirituelle qui d’ailleurs est déjà présente dans l’écriture. Dans les derniers épisodes, les ombres, toujours plus nombreuses de ceux et de celles qui ont disparu, reviennent hanter la forêt : Jean, Camm, Maurice, Pierre …
Peu à peu, le feuilleton nous amène jusqu’à aujourd’hui. Depuis le départ de Tibold Egervari, qui succéda à Pierre Richard-Wilm, on a l’impression d’assister à une fuite en avant : les directeurs sont renouvelés tous les quatre ans ou presque, ce qui leur laisse peu temps pour penser et élaborer un véritable projet, réfléchir aux nouveaux enjeux d’un théâtre populaire, à ce que signifie maintenant l’héritage des Pottecher. Une question s’impose : « Où en est-on aujourd’hui ? ». Hériter des brumes devrait être repris l’an prochain.
© Vincent Zobler : Je suis la bête d’après le roman d’Anne Sibran avec Julie Delille
Je suis la bête : le choix de la radicalité.
Avec Hériter des brumes, on peut déjà se faire une idée de la personnalité de Julie Delille : une artiste exigeante, authentique, qui ne transige pas. Cet été, parmi les autres spectacles qui étaient programmés pour le jubilé, elle a repris Je suis la bête, dans l’adaptation scénique qu’Anne Sibran a faite de son propre roman (3). C’est Julie Delille elle-même qui incarne la protagoniste, seule en scène. On est confronté ici à une triple radicalité, celles de l’écriture, de la mise en scène et de l’interprétation. Les premières scènes se jouent dans le noir total. La narratrice, dont la voix nous parvient comme d’un autre monde, nous raconte qu’enfant, elle a été enfermée dans un placard par ses parents. Abandonnée. Une chatte, qui a mis bas des chatons morts-nés, la sauve de la faim et de la mort. Avec elle, elle se réfugie dans la forêt où elle survivra comme une enfant sauvage. Comme une bête.
© Vincent Zobler : Je suis la bête d’après le roman d’Anne Sibran avec Julie Delille
Lorsque la lumière surgit, furtivement, on est subjugué par la subtilité des éclairages d’Elsa Revol. Le noir s’éclaircit légèrement pour faire apparaître de magnifiques images comme celle d’un clair de lune. À un autre moment, on entrevoit des nuages. De l’ombre à la lumière, c’est toute la gamme des gris qui se décline. Certaines images sont presque fantastiques. Un bref instant, on pourrait avoir l’impression que l’actrice a des griffes aux mains, que son visage ressemble au museau d’un animal. C’est aussi une performance physique.
La création sonore d’Antoine Richard est d’une extrême précision. Puisqu’on ne voit pas ou qu’on discerne à peine ce qui se passe sur scène, on devient attentif au moindre bruit, au cri d’une chouette comme au chant d’un oiseau. On est dans une obscurité remplie de vie, parfois familière, le plus souvent inquiétante, voire dangereuse.
Là encore, comme dans Hériter des Brumes, on assiste à quelque chose de fusionnel avec la nature. C’est très beau mais très dur. Il faut accepter de lâcher prise et de se laisser entraîner dans cet univers et en saisir la puissance poétique. C’est comme une ode à la vie sauvage dont nos vies citadines nous ont fait perdre le sens. À la fin, les grandes portes de bois du fond de scène s’ouvrent sur la forêt de Bussang.
© Vincent Zobler : Le Roi nu d’Evgueni Schwartz, mis en scène par Sylvain Maurice dans la traduction d’André Markowicz avec Manuel Le Lièvre, Mikaël-Don Giancarli et Maël Besnard.
Le Roi nu : la subversion par le rire
Depuis l’origine, les saisons d’été du Théâtre du Peuple privilégient l’éclectisme. Avec Le Roi nu d’Evgueni Schwartz (1896-1958), mis en scène par Sylvain Maurice dans la traduction d’André Markowicz (4), on bascule dans un tout autre registre, celui de la comédie et du rire.
Pour écrire sa pièce en 1934, le dramaturge soviétique puise dans plusieurs contes d’Andersen dont L’Habit de l’empereur et La Princesse aux petits pois, des contes pour enfants a priori inoffensifs. Pourtant, il n’échappera pas à la censure stalinienne. Interdite, sa pièce ne sera jamais jouée de son vivant. Sylvain Maurice a opté pour une scénographie à la fois très structurée et épurée. Au fur et à mesure de l’action, le décor se constitue d’un, de deux, puis de trois praticables en forme d’escaliers blancs. Cela fait penser au constructivisme. Mais c’est surtout un espace de liberté où la troupe, formée de quatre professionnels et de onze amateurs, s’en donne à cœur joie. Dans les loges latérales, des musiciens (Laurent Grais et Dayan Korolic) jouent en live.
Les deux actes de la pièce de Schwartz sont très différents. Le premier, c’est une sorte de farce loufoque, qui peut paraître anecdotique : un jeune porcher (Mikaël-Don Giancarli), amoureux de la fille du roi, la princesse Henriette (Hélène Rimenaid), décide de la séduire et de l’épouser. Ses cochons, colorés et criards, auxquels il a donné un titre de noblesse, ont envahi le plateau. Avec la complicité de son ami Christian (Maël Besnard), le porcher réussit à attirer la princesse, immédiatement suivie de sa gouvernante et de ses demoiselles de compagnie, aussi bruyantes et bariolées que les porcelets. C’est une suite de gags réalisés avec peu de moyens et beaucoup d’ingéniosité. Par exemple, un métronome marque le rythme des baisers que se donnent nos deux amoureux. Et pour le chaudron, on se sert du micro.
Dans le second acte, on rit autant que dans le premier. Mais c’est un autre rire, plus grinçant. Le père d’Henriette a promis la main de sa fille à un véritable dictateur. Henri et Christian vont tout faire pour empêcher ce mariage. Schwartz aurait pensé à Hitler pour imaginer ce personnage de roi cruel et intolérant qui entrave la liberté de son peuple, interdit, censure à tout va, brûle les livres sur la place publique. Peut-être, (plus secrètement), pensait-il également à Staline. Là, dans l’interprétation géniale de Manuel Lelièvre qui en fait un personnage vulgaire et cruel, imbu de sa personne et imprévisible, ridicule dans son accoutrement de cow-boy, c’est à Donald Trump que l’on pense. Tous les comédiens et toutes les comédiennes, qui jouent plusieurs personnages, sont formidables. Par exemple, Hugues Dutrannois dans le rôle d’un bouffon, désabusé et sinistre. Ses blagues, plus cyniques que drôles, ne font rire que le roi qui d’ailleurs ne les comprend pas. Le Premier Ministre (Jacques Courtrot), excellent lui aussi, s’oblige à rire parce que le roi rit. Contrairement aux tenues excentriques du roi, les courtisans sont en combinaison, avec une chemise blanche et une cravate noire. Tous mis au même niveau.
Henri et Christian vont inventer un stratagème ingénieux pour délivrer Henriette. Se faisant passer pour des tisserands, ils font croire à cet idiot de dictateur qu’ils vont lui confectionner le plus magnifique des habits pour son mariage avec la princesse. En fait, il n’en est rien. Et, il n’y a rien. Le roi est nu. La scène est d’une grande virtuosité. Par peur du tyran, les courtisans acquiescent à tout ce que racontent les tisserands. Christian et Henri sont si persuasifs que le spectateur lui-même finirait par voir des étoffes qui n’existent pas. Il faudra la réaction pleine de bon sens du peuple pour que la vérité soit reconnue dans un grand éclat de rire. C’est le signe de la révolte. Le fond du théâtre s’est réouvert et l’on voit le tyran courir à travers la forêt, nu comme un satyre. Cela s’achève par une sorte de petite comédie musicale où règne l’optimisme et la joie : « Nous avons chassé le roi ! ».
Il faut saluer le travail de direction d’acteurs de Sylvain Maurice en sachant que le choix des amateurs s’est fait partir du 9 juin, que les répétitions avec les professionnels ont commencé le 17 juin et que Le Roi nu a été créé le 19 juillet. Il aura donc suffi de quelques semaines pour aboutir à ce beau travail de troupe. Espérons que ce spectacle, qui reflète tout en la mettant à distance la réalité que nous vivons aujourd’hui, sera bientôt repris.
© Vincent Zobler : Le public assistant au Roi nu d’Evgueni Schwartz, mis en scène par Sylvain Maurice dans la traduction d’André Markowicz.
« Est-ce que le Théâtre du Peuple aurait pu naître aujourd’hui ? » : c’est l’une des questions qu’on peut entendre dans le dernier épisode de Hériter des brumes. L’enquête menée par la sociologue Anne Labit (5), à la demande de Julie Delille, nous révèle que les Bussonets du XXIème siècle se sentiraient moins concernés que ceux du XIXème siècle : ils participent moins aux spectacles, vont moins en voir. Pourtant, cet été, pour le jubilé, il y avait dans la vitrine de chaque commerçant du village des objets qui évoquaient l’histoire du Théâtre du Peuple : des manuscrits de pièces de Maurice Pottecher dans la vitrine du boulanger, des tableaux et des aquarelles de scénographies dans celle de l’épicier, des coussins de spectateurs dans celle du pharmacien.
Et, chaque été, les spectacles continuent de faire le plein attirant de plus en plus un public régional et national. Le Théâtre du Peuple résiste. En France, il est l’un des derniers bastions de l’utopie d’un théâtre populaire. Avec la nécessité, il est vrai, de se réinventer sans cesse.
Un jour, une spectatrice a trouvé une bague qu’elle a remise à Julie Delille, pressentie pour diriger le Théâtre du Peuple, en lui disant : « Vous saurez où la mettre ». Quand elle été nommée officiellement, Julie Delille s’est dit qu’elle garderait cette bague jusqu’au jour où elle la confierait à l’artiste qui lui succèderait. Un gage de continuité. Et, la promesse de son engagement…
- Hériter des brumes de Alix Fournier-Pittaluga et Paul Francesconi est publié aux éditions Esse que.
Le spectacle s’est joué à Bussang du 20 au 27 août 2025 avec Raphaëlle de la Bouillerie, Axel Godard, Antoine Sastre, Monique Cordella, Inaya Didierjean, Quentin Dupetit, Charlotte Gérard, Jennifer Halter, Benjamin Pourchet
2) Le 13 et le 14 septembre 2025, Les Journées du Matrimoine de Bussang rendront hommage aux grandes figures féminines du Théâtre du Peuple. Pour plus d’informations, voir le Site : https://theatredupeuple.com
3) Je suis la bête sera présenté à la Manufacture – CDN de Nancy du 8 au 10 avril 2026.
Le roman de Anne Sibran est publié aux Éditions Gallimard/ Haute Enfance.
4) Le Roi nu d’Evgueni Schwartz dans la traduction d’André Markowicz est publié aux Solitaires Intempestifs.
5) Le Théâtre, le Peuple et le Territoire – Pièce Sociologique en deux actes par Anne Labit, Universités d’Orléans et de Tours – (janvier 2025)