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mars 2016

Acheter le Numéro 2 Ville en scène Genève sur scène : toujours tiraillé entre Voltaire et Rousseau par Sandrine Fabbri Dossier En créant Godot par Jean Martin "Godot dans ma vie" par Otomar Krejca Dire oui à la boue par Peter Brook "C'est Beckett qui me l'a expliqué" par Giorgio Strehler "Catastrophe" de Beckett par Karel Kraus Post-scriptum : le verbe de Beckett devenu image par Richard Kearney Souvenirs par Matias Auteur Lothar Trolle par Maurice Taszman Extraits Hermès dans la ville par Lothar Trolle Images Les Pitoëff, destins de théâtre

Edito par Chantal Boiron L’ouverture d’une page d’actualités hebdomadaire, sur le site d’UBU, c’est notre manière de marquer les 20 ans de la revue. Cela fait 20 ans que la revue UBU Scènes d’Europe/European Stages paraît en français et en anglais. En 20 ans, nous avons publié une soixantaine de numéros. Nous souhaiterions paraître plus fréquemment mais le coût d’une revue papier est devenu trop rédhibitoire pour une structure indépendante comme la nôtre. Pour couvrir davantage l’actualité des arts de la scène, nous avons donc décidé de créer un « hebdo numérique » qui paraîtra sur notre site chaque vendredi. UBU l’Hebdo va nous permettre

Ecrire avec le corps Par Odile Quirot Le corps d’abord, les mots après. Ainsi écrit Jos Houben, acteur et auteur loufoque et aérien. Il a signé  L’Art du rire, conférence amusée et amusante sur les liens entre la mécanique du corps et celle des zygomatiques de ses spectateurs. Ce spectacle créé en 2008, tient aussi de la leçon de choses philosophiques et Jos Houben ne cesse de voyager avec lui. Peut-être parce que, grandi entre deux langues, le flamand et le français, né en 1959,  Jos Houben a t-il toujours su que s’affranchir des mots et de leurs frontières, c’est gagner en

Jouer dans une autre langue par Odile Quirot Pour Ubu, Marilù Marini  a accepté de prendre la plume afin de témoigner de son allègre double jeu, c’est à dire de son passage de l’espagnol, sa langue natale, au français, qu’elle nomme ici joliment sa « seconde patrie ». Comédienne impériale et espiègle, Marilù Marini est née à Buenos-Aires d’un père italien et d’une mère prussienne. À son arrivée en France, elle devient  l’égérie du groupe TSE fondé par son compatriote Alfredo Arias. Elle est sa Beauty dans Peines de cœur d’une chatte anglaise, Caliban le monstrueux dans  La Tempête de Shakespeare, la fée de  L’Oiseau bleu

[vc_row][vc_column][vc_column_text] Un regard sans concession sur la société russe d’aujourd’hui par Soizic Sergeant [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width="2/3"][vc_column_text] [eltdf_dropcaps type="normal" color="" background_color=""]Y[/eltdf_dropcaps]aroslava Poulinovitch a vingt ans quand elle écrit Le rêve de Natacha. Un monologue fulgurant au langage très cru, dont l’héroïne est une jeune orpheline de seize ans  rêvant d’une vie meilleure dans la Russie d’aujourd’hui. Un succès sans précédent Au moment de l’écriture, l’auteur n’est alors elle-même qu’une toute jeune étudiante à l’Institut de Théâtre d’Ekaterinbourg, dans l’Oural. Ce n’est pas son premier texte mais la jeune dramaturge originaire d’Omsk (Sibérie occidentale) n’est encore connue de personne en Russie. Quand son professeur Nikolaï Kolyada lit le monologue, il

Luchini : « Il faut tenter de dire Rimbaud mais c’est impossible » « Malheur à moi, je suis nuance », Nietzsche Entretien avec Jean-Pierre Thibaudat Poésie ? ,  c’est le titre du spectacle que, seul en scène, Fabrice Luchini joue actuellement et entend jouer partout en France dans les petits théâtres à l’italienne des petites villes, devant un public n’excédant jamais 400 personnes.  Seul en scène, entouré de livres, parfois assis, souvent debout  il lit, dit des poètes, de Paul Valéry à Arthur Rimbaud. Fabrice Luchini a Inauguré il y a 30 ans, avec Voyage au bout de la nuit  de Louis-Ferdinand  Céline, ses spectacles « seuls en

Acheter le numéro 1  Ville en scène Tbilissi sur scène : le théâtre géorgien envers et contre le temps par Irène Gogobéridzé Dossier Sur la mémoire du théâtre par Georges Banu "J'ai le théâtre polonais en moi" par Andrzej Seweryn "La mise en scène n'a pas de mémoire" par Roger Planchon "La nostalgie" par Eugenio Barba "Le théâtre est toujours dans la ville" par Giorgio Barberio Corsetti "La responsabilité sur scène" par Gigi Dall'Aglio Souvenir par Alexander Lang Extraits Pervertissement par Jose Sanchis Sinisterra Compte-rendu Festival de Veroli : la guerre et la paix par Gilles Costaz Réactions du public de Dublin devant l'"Odyssée" du Footsbarn par Sophie Kevany D'un morceau de pain ou d'une bombe