Bienvenue sur le site de la revue Ubu
Accueil
UBU l’hebdo
Acheter
En ligne
En librairie
Mon compte
Numéros
Contact
Panier
Accueil
UBU l’hebdo
Acheter
En ligne
En librairie
Mon compte
Numéros
Contact
Panier
Accueil
UBU l’hebdo
Acheter
En ligne
En librairie
Mon compte
Numéros
Contact
Panier
Home
UBU l’hebdo
UBU l’hebdo
Le Pays innocent : un conte futuriste
Le Suicidé : une farce noire à la Comédie-Française
Sandrine Bonnaire ou les secrets de Claire Lannes
Au Vieux-Colombier : à la recherche d’un couple légendaire…
Cadences 2024 : un hymne à la vie
La Fondation de Royaumont a 60 ans…
Les Jeux oubliés de Paris 1900
Châteauvallon 2024 : l’utopie de deux jeunes chorégraphes
Les promenades littéraires de Krystian Lupa
Re Chiccinella d’Emma Dante : au nom de l’or!
L’Ulysse aux trois visages de Claudine Galea
Jeux de miroir
Les batailles et les rêves de la Quatrième A
Le Voyage dans l’Est : Angot/Nordey
Au Soleil, des acteurs entre deux périls
La Symphonie chorégraphique de Boris Charmatz
Andromaque à l’Odéon : « Des ruisseaux de sang…»
À la Criée, le rire rassemble
Bussang, été 2023
Le Marathon estival de Jo Lavaudant
«Der Wij» : Le Manifeste contre la guerre de Serebrennikov
« Dancing Pina » :« Chantez avec votre corps »
Avec Kirill Serebrennikov, au bord du gouffre
Beckett : deux mises en scène magistrales
« La Mort d’Empédocle » : la leçon de théâtre de Bernard Sobel
Matthias Langhoff: retour à Heiner Müller
Le Suicidé, « vaudeville soviétique » d’une actualité brûlante
Baal, selon Armel Roussel: un poème psychédélique
Au Kosovo, un théâtre plein de promesses
Le mystère Tiago Rodrigues
Au TNS, l’envol du Groupe 46
Pau, été 22 : « Molière 3.0 »
Anne Kessler : jouer, mettre en scène, dessiner…
« Tout mon amour », une tragédie familiale
Gilles David, Didier Sandre, Michel Vuillermoz : Alceste, Jouvet
Vercors au Théâtre de la Ville : «Pourriez-vous me dire ce qu’est un homme ?»
Pirandello selon Julia Vidit et Guillaume Cayet : vérité, doute et folie
Tiago Rodrigues, passeur d’un regard sur le monde
Richard III : de Matthias Langhoff à Marcial di Fonzo Bo
Phia, bâtisseuse de l’éphémère